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Colloque “Consentir, Refuser, Céder: Spectres de la conquête à la Restauration (1660-1714)”, Université Paul-Valéry Montpellier 3, 14 juin 2024

Le programme du colloque “Consentir, Refuser, Céder: Spectres de la conquête à la Restauration (1660-1714)”, co-organisé par l’IRCL (Université Paul-Valéry Montpellier 3) et le LARCA (Université Paris Cité), sous l’égide de la Société d’études anglo-américaines des XVIIe et XVIIIe siècles, est disponible.

Le programme du colloque est aussi disponible en version pdf ici.

Le colloque aura lieu le 14 juin 2024, de 9h à 18h, à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 – Salle du Conseil, Rue Henri Serre – Site Saint-Charles 1.

Vous pouvez retrouver ces informations et consulter le programme sur le site de l’IRCL: https://ircl.cnrs.fr/evenement/consentir-refuser-ceder/

Un lien Zoom sera également mis à disposition. Pour l’obtenir, et pour toute information complémentaire, merci d’écrire à l’adresse suivante : consentir.restauration@gmail.com


8h45  Café d’accueil
9h-9h20  Ouvertures – Accueil par l’IRCL et cadrage par les organisateurs
9h20-9h45  Conférence d’ouverture de Nadia Rigaud (Aix-Marseille Université) présidée par Florence March (Université Paul-Valéry Montpellier 3)

9h45-11h  Panel 1 présidé par Line Cottegnies (Sorbonne Université) – Femmes et consentement au théâtre
– Elena Bosserelle (Lycée Parc Chabrières, Oullins) : « Circé ou le refus du compromis : la scène comme un espace des possibles au féminin ? »- Jeffrey Hopes (Université d’Orléans) : « No way out? The nexus of consent in early eighteenth-century plays by women. »

Pause

11h10-12h20  Conférence plénière de Geneviève Fraisse (CNRS), présidée par Clara Manco (Université Paris-Cité), Sara Leuner (Université Paris-Cité) et Alice Marion-Ferrand (Université Paul-Valéry Montpellier 3)

Pause repas

13h45-15h  Panel 2 présidé par Andrew Hiscock – Empire et fictions du consentement
– Mathilde Alazraki (INALCO) : « Fantasies of Imperial Conquest and Gendered Submission in John Dryden’s Aureng-Zebe (1676) »
– Line Cottegnies (Sorbonne Université): « Consent and Obedience in Aphra Behn’s Oroonoko (1688) »

Pause

15h10-16h50 Panel 3 présidé par Luc Borot – Formes de l’adhésion à la Restauration
– Andrew Hiscock (Bangor University) : « “What sieges girt me round, e’re I consented”: the Politics of Compliance in Milton’s Samson Agonistes (1671)»
– Hannah Straw (Warwick University) : « “Everybody’s King”: Commemorative Ceramics and King Charles II »
– Emmanuel Lemée (Université Picardie Jules Verne) : « Consentir pour ne pas céder : légitimité et agentivité de la Couronne d’Angleterre durant la crise de l’Exclusion »

16h50-17h  Clôture

CFP : Journées Doctorants et Jeunes Chercheurs, Université de Lille, 17 et 18 Octobre 2024

Les Journées Doctorants et Jeunes Chercheurs de la SEAA 17-18, co-organisées avec la SFEDS, auront lieu le 17 et 18 octobre prochain à l’Université de Lille. Le thème retenu est “RACINES, RADICALITÉ, ORGANICITÉ EN FRANCE ET DANS LE MONDE ANGLO-AMERICAIN AUX XVIIe ET XVIIIe SIÈCLES “.

Vous pouvez trouver plus de détails sur la page consacrée aux JDJC ici.

Le CFP est aussi disponible en version PDF ici.

Dernier numéro de la revue XVII-XVIII : 80, Pays, Pages, Paysages / Bookscapes

William Blake, The First Book of Urizen, colour etching, in William Muir, A. Edward Newton and J. Lessing (eds.), The First Book of Urizen (Edmonton, Engl., 1888), p. 14 (facsimile). Rosenwald Collection, Library of Congress, No. 7002222. https://www.loc.gov/item/17002222/

Le dernier numéro en date de la revue XVII-XVIII est maintenant disponible en ligne. Vous pouvez le consulter ici.

Vous pouvez aussi consulter le sommaire sur la page dédiée au dernier numéro ici.

Inscriptions pour le congrès du cinquantenaire

Chères et chers collègues,

Les inscriptions sont désormais ouvertes pour le congrès annuel de la Société des Etudes Anglo-Américaines des XVII et XVIIIe siècles (SEAA XVII-XVIII), “Mémoire et oubli dans le monde anglo-américain des XVIIe et XVIIIe siècles”, qui se tiendra à la Sorbonne Nouvelle, du 11 au 13 janvier prochain.

Elles se font via le formulaire suivant : https://forms.gle/AiAAJa7cDnZDLEWQ6

Le règlement est à faire directement auprès de la SEAA XVII-XVIII par virement (le RIB figure dans le formulaire d’inscription). Il est encore possible de régler jusqu’au début du colloque.

Sociable Objects in Britain and Europe (1650-1850) – Conference -23rd November Lille. Programme

Le programme pour la journée d’études “Objets de sociabilité en Grande-Bretagne et en Europe (1650-1850) est aussi disponible ici en version pdf.

Si vous souhaitez assister à la journée d’études à distance, merci d’écrire à vanessa.alayrac-fielding[at]univ-lille.fr ou à pierre.labrune[at]univ-lille.fr afin d’obtenir le lien de connexion.

9h30 | Accueil / Welcome and introduction


10.00 – 12.00 | PANEL 1
: Sociable objects, consumption and sensibility
Chair: Valérie CAPDEVILLE (Université de Rennes)


María ZOZAYA (University of Évora)
Shaping a new air: Fans in Sociability Spaces Promoting Gender
Relationships, Social Ties, Emotions and Gestures, 1750-1850


Margaux LARDET (Université Paris-Cité)
Les maisons de poupées en Angleterre au XVIIIe siècle :
consommation ostentatoire, collectionnisme et sociabilité dans
l’espace domestique.

Sara LEUNER (Université Paris-Cité)
“Wicked bundle(s)”: le don comme instrument de corruption dans
trois récits de prédation sexuelle.


Rosalind POWELL (University of Amsterdam)
Barometers and Bodies in the Eighteenth Century: Scientific
Sensitivity, Sociability and Authority.


12.00 | Lunch buffet (salle F0.42)


13.30 – 15.30 | PANEL 2 : The printed matter(s) of sociable objects
Chair: Christopher FLETCHER (Université de Lille)


Julien BECKAERT (Université de Lille)
‘‘If you will make a merchandize of poison, you must answer for
it’’ : Gestes éditoriaux et traces de sociabilités dans les pamphlets
radicaux londoniens (1792-1795).


Marion LECLAIR (Université d’Artois)
Matérialiser la réception : publicités romanesques dans l’objet
« périodique ».


Sophie LAMBEA (Université de Strasbourg)
Les cartes à jouer au cours du long XVIIIe siècle anglais : objets de
divertissement, ciment social et outils de propagande politique.

Daen PALMA HUSE (University College London), Rudolf RAJMUND
BALÁZS (University of Southampton)
Sound Interactions: A Violin and a Musical Playing Card Deck in Late
Eighteenth-Century Britain.


15.30 | Pause café / Coffee break


15.45 – 17.30 | PANEL 3: Commemorative objects and political sociabilities


Chair:
Pierre LABRUNE (Université de Lille)


Rémy DUTHILLE (Université Bordeaux Montaigne)
Bastille stones and snuff-boxes: the materiality of British celebrations
of the French Revolutions of 1789 and 1830.


Hannal STRAW (Warwick University)
“Talking Big, a Day After the Fair”: Royal Commemorative Objects and
the Sociability of Loyalty in the Restoration.


Alice LEROY (Université de Lille)
The language of secrecy: The Jacobites and the subversion of material
culture in the early 18th century.

17.15-17.30 | Clôture de la journée / Closing remarks

CFP : Objets de sociabilité en Grande-Bretagne et en Europe (1650-1850). Université de Lille, 23 novembre 2023.

Phillipe Mercier, the Sense of Sight, 1744-1747, Yale Center for British Art, Paul Mellon Collection

Organisé par : Vanessa Alayrac-Fielding, Pierre Labrune

Cette journée d’étude, prévue le 23 novembre 2023, s’inscrit dans la continuité des travaux du GIS Sociabilités, Groupement d’Intérêt Scientifique consacré à l’étude des sociabilités européennes dans le long xviiie siècle, ainsi que dans les perspectives ouvertes par le renouveau des études sur la culture matérielle. Il s’agira d’interroger la place prise par les objets, qu’ils tiennent dans la main comme une tabatière ou qu’ils prennent plus de place comme une voiture, dans le développement de nouvelles formes de sociabilités, à une époque où la Grande-Bretagne s’affirme comme une puissance commerciale de premier rang et où les deux sens du mot « commerce » – à la fois marchand et relationnel – sont de plus en plus souvent associés.

En considérant « les objets […] dans des réseaux d’abstraction et de sensibilité essentiels à la compréhension des faits sociaux » (Roche, 1997, 10), il est possible de percevoir les ambivalences du long xviiie siècle, où les discours qui louent les vertus d’une sociabilité universelle cohabitent avec une marchandisation croissante du monde. La mondialisation des échanges et les constructions des empires européens donnent lieu à l’arrivée d’objets coloniaux ou extra-européens en Europe et en Grande-Bretagne, fabriqués à partir de matières naturelles ou animales (plumes, bois, minéraux, kaolin etc), amenant de nouvelles pratiques sociales, notamment la constitution et l’exposition de collections (Gerritsen and Riello 2015 ; Avery, Calaresu and Laven 2015) et modelant les goûts des consommateurs désireux de montrer à la fois leur curiosité pour des matières et des objets nouveaux et d’afficher leur statut social à travers une consommation matérielle ostentatoire. Ainsi Addison souligne-t-il, dans un essai du Spectator consacré à la description de la Bourse de Londres, qu’il faut le produit d’une centaine de climats pour habiller une seule femme de qualité. Au sein de la République des Lettres, les livres, envisagés ici en tant qu’objets et dans leur matérialité, ont également permis la constitution de réseaux intellectuels et la mise en œuvre de modes de sociabilité construits autour d’échanges bibliophiliques. Tout comme les récits, les objets contribuent à façonner « l’espace public sensible » (Lilti, 2019, 189), qui caractérise l’époque qui fera l’objet de cette manifestation. Il s’agira de les considérer, le cas échéant, dans leur capacité d’agir (« agency ») au sein des sphères publique et privée, de les structurer et de les transformer.

Dans cette perspective, il importe de mieux appréhender les mutations dans les processus même de fabrication des différents objets à l’époque qui voit la naissance d’une première société de consommation, notamment en Angleterre (McKendrick, Brewer and Plumb, 1982). L’étude du rôle des objets dans les sociabilités ne saurait ignorer les tensions entre les débuts, dans certains domaines, de la production de masse et, d’autre part, l’importance des productions uniques et artisanales pour mieux affirmer son goût et sa distinction.

La journée d’étude pourra donc porter sur des études de cas, où un objet particulier ou un type d’objet seront étudiés afin de montrer comment il importe de toujours prendre en considération les realia de la sociabilité, qui conditionnent et reconfigurent les relations et les réseaux.

Nous acceptons des propositions de chercheurs et de chercheuses issus de différents champs disciplinaires (histoire, histoire de l’art, sociologie, études anglophones, études culturelles, littérature …). Les propositions pourront porter – mais non exclusivement – sur les thématiques suivantes :

– Matérialité des correspondances dans le long xviiie siècle (papiers, encres, portages, etc.).

– Sociabilités et cadeaux.

– L’objet comme souvenir dans les réseaux de sociabilité.

– Distinction et massification de la consommation matérielle.

– Le rôle des objets impériaux dans les sociabilités.

– Le rôle d’objets spécifiques dans les lieux de sociabilité (éventails, pipes, tasses, etc.).

Les propositions de communication, en anglais ou en français, d’une longueur de 300 mots maximum et accompagnées d’une courte bio-bibliographie sont à envoyer d’ici le 25 octobre 2023 aux adresses suivantes : vanessa.alayrac-fielding@univ-lille.fr, pierre.labrune@univ-lille.fr.

Les avis sur les propositions seront rendus au 31 d’octobre.

Bibliographie :

Addison, Joseph, and Steele Richard, The Spectator, ed. Donald F. Bond, Oxford: Clarendon Press, 1965, 5 vol.

Appadurai, Arjun, (ed.), The Social Life of Things: Commodities in Cultural Perspective, Cambridge: Cambridge University Press, 1986.

Avery, Victoria, Calaresu, Melissa, and Laven, Mary, (eds.), Treasured Possessions: from Renaissance to Enlightenment, London; Philip Wilson Publishers, 2015.

Brewer, John, and Porter, Roy, (eds.), Consumption and the World of Goods, London: Routledge, 1993.

Downes, Stephanie, Holloway Sally and Randle Sarah (eds.), Feeling Things: Objects and Emotions through History, Oxford: Oxford University Press, 2018.

Festa, Lynn, Fiction without Humanity. Person, Animal, Thing in Early Enlightenment Literature and Culture. Philadelphia: University of Pennsylvania Press, 2019.

Findlen, Paula (ed.), Early Modern Things: Objects and their Histories, 1500-1800, New York: Routledge, 2013.

Gerritsen, Anne, and Riello, Giorgio, (eds.), The Global Lives of Things: The Material Culture of Connections in the Early Modern World, London: Routledge, 2015.

Lilti, Antoine, L’Héritage des Lumières. Ambivalences de la modernité. Paris : EHESS, Gallimard, Seuil, 2019.

McKendrick, Neil, Brewer, John, and Plumb, J. H., The Birth of a Consumer Society: The Commercialization of 18th-Century England, Bloomington: Indiana University Press, 1982.

Roche, Daniel, Histoire des choses banales. Naissance de la consommation dans les sociétés traditionnelles (xviie-xixe siècles), Paris : Fayard, 1997.

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CFP: Sociable objects in Britain and Europe (1650-1850). Université de Lille, 23rd November 2023.

Organized by: Vanessa Alayrac-Fielding, Pierre Labrune

This one-day conference aims at continuing the work done by the “GIS Sociability” – a group of researchers studying European sociabilities in the long eighteenth century – and at exploring perspectives opened by the renewal of the field of material culture studies. It will focus on the role played by objects – whether they be as small as snuffboxes or as large as carriages – in the development of new forms of sociability in an age when Britain became a leading commercial power and when the two meanings of the word “commerce” – relating both to business and to social interactions – were often associated.

Considering “objects […] in the abstract and sensible networks that are essential to understand social facts” (Roche, 1997, 10) allows one to perceive the ambivalences of the long eighteenth century, in which discourses in praise of universal sociability cohabited with a growing commodification of the world. Increasing global exchanges and the construction of European empires led to the arrival and discovery of colonial and extra-European objects in Europe and Britain, made with natural materials or with animal products (feathers, tortoiseshell, wood, minerals, kaolin etc), which fostered new social interactions, such as the practice of collecting and displaying one’s collection (Gerritsen and Riello 2015 ; Avery, Calaresu and Laven 2015), and shaped the tastes of consumers eager to show their curiosity for new things and/or materials and their social status through conspicuous material consumption. As Addison wrote in an essay describing the Royal Exchange in The Spectator: “The single Dress of a Woman of Quality is often the Product of a hundred Climates.” In the Republic of Letters, books, to be considered here as objects and in relation to their materiality, allowed for the creation of intellectual networks and the development of sociabilities built upon bibliophilic exchanges. Objects, alongside narratives, participated in the creation of the “sensible public sphere” (Lilti, 2019, 189) that characterized the eighteenth century. In this context, it seems particularly relevant to pay attention to the agency of objects, their ability to shape and transform the private and public spheres and take part in social interactions.

That is why the transformations of the very fabrication processes of different objects should be better analysed, as it was in that time that a consumer society was born, especially in England (McKendrick, Brewer and Plumb, 1982). To study the role of objects in sociabilities, one should not disregard the tensions between, on the one hand, the budding mass producing of certain objects, and, on the other hand, the importance of unique productions showing great craftsmanship that were means to affirm one’s taste and distinction.

Papers submitted for the conference might be case studies in which a particular object or type of object could be studied to show that the realia of sociability should always be taken into account as they condition and redefine relationships and networks.

We will accept proposals from researchers working in many disciplines (history, art history, sociology, anglophone studies, cultural studies, literature…) Papers may address – though not exclusively – the following topics:

– The materiality of correspondences in the long eighteenth century (papers, inks, post systems…)

– Sociability and gifts

– Objects as souvenirs in sociability networks.

– Distinction and massification of material consumption.

– The place of imperial objects in sociabilities.

– The role of specific objects (fans, pipes, cups and mugs, etc.) in places of sociability.

Abstracts (300 words max.), either in English or in French, should be sent alongside a short bio-bibliography to the organisers by 25th October 2023: vanessa.alayrac-fielding@univ-lille.fr, pierre.labrune@univ-lille.fr. Notifications of acceptance will be sent on 31st October.

Bibliography:

Addison, Joseph, and Steele Richard, The Spectator, ed. Donald F. Bond, Oxford: Clarendon Press, 1965, 5 vol.

Appadurai, Arjun, (ed.), The Social Life of Things: Commodities in Cultural Perspective, Cambridge: Cambridge University Press, 1986.

Avery, Victoria, Calaresu, Melissa, and Laven, Mary, (eds.), Treasured Possessions: from Renaissance to Enlightenment, London; Philip Wilson Publishers, 2015.

Brewer, John, and Porter, Roy, (eds.), Consumption and the World of Goods, London: Routledge, 1993.

Downes, Stephanie, Holloway Sally and Randle Sarah (eds.), Feeling Things: Objects and Emotions through History, Oxford: Oxford University Press, 2018.

Festa, Lynn, Fiction without Humanity. Person, Animal, Thing in Early Enlightenment Literature and Culture. Philadelphia: University of Pennsylvania Press, 2019.

Findlen, Paula (ed.), Early Modern Things: Objects and their Histories, 1500-1800, New York: Routledge, 2013.

Gerritsen, Anne, and Riello, Giorgio, (eds.), The Global Lives of Things: The Material Culture of Connections in the Early Modern World, London: Routledge, 2015.

Lilti, Antoine, L’Héritage des Lumières. Ambivalences de la modernité. Paris : EHESS, Gallimard, Seuil, 2019.

McKendrick, Neil, Brewer, John, and Plumb, J. H., The Birth of a Consumer Society: The Commercialization of 18th-Century England, Bloomington: Indiana University Press, 1982.

Roche, Daniel, Histoire des choses banales. Naissance de la consommation dans les sociétés traditionnelles (xviie-xixe siècles), Paris : Fayard, 1997.